Auteur du plan B visant à étrangler le Québec financièrement et à contrôler la démarche référendaire, il prétend que le vote d’un fédéraliste est plus important que celui d’un indépendantiste. Ainsi, il pourrait décider, suivant la loi qu’il a fait voter, que 50%+1 n’est pas un résultat acceptable pour reconnaître la volonté du peuple. Il écrivit de grands articles pour le compte du conseil pour l’unité canadienne pendant la période préréférendaire de 1995, alors qu’il était prof à l’université.